Ma première rencontre avec David P. Vincent date du début mai 1999. 5 semaines plus tard, je me trouve dans l'obligation de faire connaître son histoire.
Mandaté par le Département de Sociologie de l'Université de Genève pour faire une étude sur les troubles hallucinatoires en milieu urbain et leurs causes, j'ai été présenté à M. Vincent par un de ses amis qui me l'a décrit comme "complêtement givré et gravement halluciné". Au cours de mes entrevues avec le sujet j'ai du pourtant me rendre à l'évidence : son histoire est vraie et nous devons nous préparer.